L'ombre molle
Désir inavouable d'un rêve avorté Et lassé de tant de déités factices Il pénètre dans le réseau royaume fiévreux de l'ombre molle
Un blog où l'on vient lire de petites tranches de vie pas cuites, des poèmes pas toujours poétiques, des trucs et des choses.
Désir inavouable d'un rêve avorté Et lassé de tant de déités factices Il pénètre dans le réseau royaume fiévreux de l'ombre molle
Difficile de me mouvoir Quand je me vois dans le miroir L’envie me prend mais pas à vous De vivoter, je vis debout A la fenêtre de ma chambre Un horizon au goût de chanvre N’appelle en moi que le dégoût Pour vivre heureux vivons debout Mais moi je vis,...
Noter les rendez-vous sur mon carnet contacter la clientèle garder le contact contact Construire mon réseau accroître le capital relationnel Sourire Reprendre la route cachet d’aspirine, vitamines amphétamines. Photo Sourire Re photo Eclater en sanglots...
Je suis cette part de toi en toi. Qui n’est pas toi n’est pas moi. Qui n’est pas moi n’est pas toi. Ne t’émeus pas. Tu sens bien que tu es est ma proie. Je suis cette part étrange que tu enfouis sans te soucier, dont tu ignores la croissance, les pics,...
Une fois, seul, au point du jour, consumant les dernières bouffées de ma cigarette, bras croisés, yeux baissés, j'attendais. Lassé, je commenais à m'assoupir. Assoupissement. Subitement à mon réveil un ange toque toque à ma fenêtre. Froufrou d'ailes ébouriffées,...
Moment venu soir où la vie ne tient plus que dans le dernier souffle que le jour expire, quand dans le rouge sang d'un gros soleil repus à mes pieds le flot bleu de la mer vient mourir. Et confier mes pensées aux rumeurs de la mer
Les masses s's'éveillent lentement à la vie active et productive. Rien ne vient troubler le silence glacial sinon mes battements de coeur. Il flotte comme une odeur de pain grillé, de beurre et l’on sent la chaleur monter et s'insinuer dans le ventre...
Dans le jardin des Hespérides la pomme avait pris quelques rides. Les déesses sont devenues des lesbiennes et se lèch’ le cul Au Panthéon mon pantalon s’est déchiré, eh ouais c’est con ! Un grec derrière a profité de ma surprise pour m’enculer D’vant...
L’infini a percé à la surface outrée. Une petite plaie prend la forme d’un T. Je gratte la surface et je peux constater que mon sang dans mon corps est encore tout glacé.
Les démons du hasard au firmament, nous mènent à sons perdus, leurs violons font danser notre race humaine sur la descente à reculons c’est du baudelaire